Ce projet collectif repose sur le souhait de confronter la manière dont trois institutions (les Archives nationales, le Centre national des arts plastiques et le Centre national de danse contemporaine d’Angers) se saisissent du patrimoine archivistique - qu’elles produisent de manière automatique ou à la recherche duquel elles partent, ici ou ailleurs - , sous le regard critique de chercheurs de l’Université Paris-VIII et de créateurs plasticiens en formation à l’ENSAPC.